1. Lors de l’élaboration de nouvelles dispositions législatives modifiant ou complétant les dispositions de l’art. 1, la Commission des Communautés européennes, ci-après dénommée «Commission», consulte d’une manière informelle les experts suisses de la même façon qu’elle consulte les experts des Etats membres pour l’élaboration de ses propositions.
2. La Commission, lorsqu’elle transmet ses propositions mentionnées au par. 1 au Parlement européen et au Conseil de l’Union européenne, ci-après dénommé «Conseil», en adresse copie à la Suisse.
A la demande de l’une des Parties contractantes, un échange de vues préliminaire peut avoir lieu au sein du comité mixte institué en vertu de l’art. 3.
3. Les Parties contractantes se consultent à nouveau, à la demande de l’une d’entre elles, au sein du comité mixte, aux moments importants de la phase précédant l’adoption de dispositions législatives mentionnées au par. 1, dans un processus continu d’information et de consultation.
4. Les Parties contractantes coopèrent de bonne foi au cours de la phase d’information et de consultation afin de faciliter, à la fin du processus, les activités du comité mixte, conformément au présent Accord.
5. Les représentants du gouvernement suisse ont le droit de formuler des suggestions au sein du comité mixte en ce qui concerne les questions mentionnées au par. 1.
6. La Commission assure aux experts suisses une participation aussi large que possible, selon les domaines concernés, à la préparation des projets de mesures à soumettre ultérieurement aux comités qui assistent la Commission dans l’exercice de ses pouvoirs exécutifs. Ainsi, lors de l’élaboration de mesures, la Commission consulte les experts suisses au même titre que les experts des Etats membres.
7. Dans le cas où le Conseil est saisi conformément à la procédure applicable au type de comité concerné, la Commission transmet au Conseil les vues des experts suisses.
1. Bei der Erarbeitung neuer Rechtsvorschriften zur Änderung oder Ergänzung der in Artikel 1 genannten Bestimmungen zieht die Kommission der Europäischen Gemeinschaften (nachstehend «Kommission» genannt) Sachverständige aus der Schweiz informell gleichermassen zurate, wie sie Sachverständige aus den Mitgliedstaaten für die Ausarbeitung ihrer Vorschläge zurate zieht.
2. Wenn die Kommission dem Europäischen Parlament und dem Rat der Europäischen Union (nachstehend «Rat» genannt) Vorschläge nach Absatz 1 vorlegt, so übermittelt sie diese in Kopie auch an die Schweiz.
Auf Antrag einer Vertragspartei kann vorab im Rahmen des mit Artikel 3 eingesetzten Gemeinsamen Ausschusses ein Meinungsaustausch geführt werden.
3. Die Vertragsparteien konsultieren einander erneut auf Antrag einer der Vertragsparteien bei wichtigen Etappen vor der Verabschiedung von in Absatz 1 genannten Rechtsvorschriften im Rahmen eines ständigen Informations- und Konsultationsprozesses im Gemeinsamen Ausschuss.
4. Die Vertragsparteien arbeiten während der Informations- und Konsultationsphase loyal zusammen, um die Tätigkeit des Gemeinsamen Ausschusses gemäss diesem Abkommen am Ende dieses Prozesses zu erleichtern.
5. Die Vertreter der Schweizer Regierung sind berechtigt, zu von Absatz 1 erfassten Fragen im Gemeinsamen Ausschuss Anregungen vorzutragen.
6. Die Kommission gewährleistet, dass Schweizer Sachverständige je nach Bereich so weitgehend wie möglich an der Ausarbeitung jener Massnahmenentwürfe beteiligt werden, die anschliessend den Ausschüssen zu unterbreiten sind, die die Kommission bei der Ausübung ihrer Durchführungsbefugnisse unterstützen. In diesem Zusammenhang zieht die Kommission bei der Ausarbeitung von Massnahmen Sachverständige aus der Schweiz auf derselben Grundlage heran wie Sachverständige aus den Mitgliedstaaten.
7. In Fällen, in denen der Rat gemäss dem betreffenden Ausschussverfahren befasst wird, übermittelt ihm die Kommission die Stellungnahmen der Schweizer Sachverständigen.
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Dies ist keine amtliche Veröffentlichung. Massgebend ist allein die Veröffentlichung durch die Bundeskanzlei.