1. À la demande de l’État requérant, et sans autres formalités que celles précisées dans le présent Accord, l’État requis réadmet sur son territoire toute personne qui ne remplit pas ou ne remplit plus les conditions d’entrée et de séjour applicables sur le territoire de l’État requérant, pour autant qu’il soit établi, conformément à l’art. 5 du présent Accord, que l’intéressé est un ressortissant de l’État requis.
2. Cette disposition s’applique également à toute personne qui, après son entrée sur le territoire de l’État requérant, a renoncé à la nationalité de l’État requis ou en a été déchue sans pour autant acquérir celle de l’État requérant.
3. Lorsque l’État requis a donné une suite favorable à la demande de réadmission, il établit s’il y a lieu, sans délai et indépendamment de la volonté de la personne à réadmettre, le document de voyage nécessaire pour une période de validité d’au moins six mois. Si, pour des raisons de droit ou de fait, l’intéressé ne peut pas être transféré au cours de la période de validité du document de voyage initialement délivré, l’État requis en prolonge la validité dans les quatorze jours civils ou, s’il y a lieu, délivre un nouveau document de voyage, de même durée de validité, sans procéder à une nouvelle enquête.
1. Der ersuchte Staat übernimmt auf Ersuchen des ersuchenden Staates und ohne andere als die in diesem Abkommen vorgesehenen Formalitäten jede Person in sein Hoheitsgebiet, die im Hoheitsgebiet des ersuchenden Staates die geltenden Voraussetzungen für die Einreise oder den rechtmässigen Aufenthalt nicht oder nicht mehr erfüllt, sofern in Übereinstimmung mit Artikel 5 dieses Abkommens der Nachweis erbracht wird, dass diese Person Staatsangehörige des ersuchten Staates ist.
2. Dasselbe gilt für Personen, die nach der Einreise in das Hoheitsgebiet des ersuchenden Staates die Staatsangehörigkeit des ersuchten Staates aufgegeben oder verloren haben, ohne die Staatsangehörigkeit des ersuchenden Staates erlangt zu haben.
3. Der ersuchte Staat stellt bei Bedarf unverzüglich ein Reisedokument mit einer Gültigkeitsdauer von mindestens sechs Monaten für die Person aus, deren Rückübernahme angenommen wurde; dies geschieht ungeachtet des Wunsches der rückzuübernehmenden Person. Kann die betreffende Person aus rechtlichen oder tatsächlichen Gründen nicht innerhalb der Gültigkeitsdauer des ursprünglich ausgestellten Reisedokuments rückgeführt werden, so verlängert der ersuchte Staat ohne weitere Untersuchungen innerhalb von vierzehn Kalendertagen die Gültigkeit des Reisedokuments oder stellt, wenn erforderlich, ein neues Reisedokument mit gleicher Gültigkeitsdauer aus.
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