Les ressortissants de chacune des Parties contractantes seront, sur le territoire de l’autre Partie, traités à tous égards sur un pied d’égalité avec les ressortissants de la nation la plus favorisée et auront le droit, dans les mêmes conditions que ceux‑ci et sous réserve des lois et règlements qui y sont ou seront en vigueur, de s’y rendre librement, de s’y établir, de se livrer au commerce, à l’industrie et à tous les métiers et professions licites, d’y acquérir des biens meubles et immeubles par voie d’héritage, de donation, de legs, d’achats, d’échange ou par toute autre voie légale, et de posséder, détenir et aliéner ces biens.
Chacune des Parties contractantes s’engage à ne pas exiger des ressortissants de l’autre Partie le paiement d’impôts, taxes ou contributions de toute nature plus élevés ou autres que ceux qui sont ou pourront être ultérieurement exigés de ses propres nationaux ou des ressortissants de la nation la plus favorisée.2
2 Voir en outre la Conv. du 16 déc. 1991 entre la Suisse et la Finlande en vue d’éviter les doubles impositions en matière d’impôts sur le revenu et sur la fortune (RS 0.672.934.51) et la Conv. du 27 déc. 1956 en vue d’éviter les doubles impositions dans le domaine des impôts sur les successions (RS 0.672.934.52).
Die Staatsangehörigen eines jeden der vertragschliessenden Teile sollen auf dem Gebiet des andern Teils in jeder Hinsicht auf dem gleichen Fuss behandelt werden wie die Staatsangehörigen der meistbegünstigten Nation; sie haben unter den gleichen Bedingungen wie diese und unter Vorbehalt der daselbst jetzt oder künftig geltenden Gesetze und Verordnungen das Recht, dort frei einzureisen, sich dort niederzulassen, Handel, Industrie und alle zulässigen Gewerbe und Berufe auzuüben, dort bewegliches und unbewegliches Vermögen durch Erbschaft, Schenkung, Vermächtnis, Kauf, Tausch oder auf jedem andern gesetzlichen Wege zu erwerben und dieses Vermögen zu besitzen, innezuhaben und zu veräussern.
Jeder vertragschliessende Teil verpflichtet sich, von den Staatsangehörigen des andern Teils keine höhern oder andern Steuern, Gebühren oder Abgaben irgendwelcher Art zu erheben als die, die jetzt oder künftig von seinen eigenen Bürgern oder den Staatsangehörigen der meistbegünstigten Nation erhoben werden.2
2 Siehe auch das Abk. vom 16. Dez. 1991 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Republik Finnland zur Vermeidung der Doppelbesteuerung auf dem Gebiet der Steuern und Einkommen und vom Vermögen (SR 0.672.934.51) und das Abk. vom 27. Dez. 1956 zur Vermeidung der Doppelbesteuerung auf dem Gebiet der Erbschaftssteuern (SR 0.672.934.52).
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