1. Sous réserve du par. 2, tout transfert d’une personne devant être réadmise sur la base de l’une des obligations visées aux art. 2 à 3 suppose la présentation d’une demande de réadmission à l’autorité compétente de l’Etat requis.
2. Si la personne à réadmettre est en possession d’un document de voyage en cours de validité et, s’il s’agit d’un ressortissant d’un Etat tiers ou d’un apatride, également d’un visa ou d’une autorisation de séjour en cours de validité délivré(e) par l’Etat requis, le transfert de la personne peut avoir lieu sans demande de réadmission et, s’il s’agit d’un ressortissant de l’Etat requis, sans communication écrite visée à l’art. 9, par. 1, de l’Etat requérant à l’autorité compétente de l’Etat requis.
3. Sans préjudice du par. 2, si une personne a été appréhendée à la frontière ou à proximité de celle-ci, y compris aux points de passage frontaliers de l’Etat requérant, après avoir irrégulièrement franchi la frontière en provenance directe du territoire de l’Etat requis, l’Etat requérant peut présenter une demande de réadmission dans le délai de deux jours ouvrables à compter de l’appréhension de cette personne (procédure accélérée).
1. Unter Vorbehalt von Absatz 2 ist für die Rückführung einer rückzuübernehmenden Person aufgrund einer Verpflichtung nach den Artikeln 2 und 3 bei der zuständigen Behörde des ersuchten Staates ein Rückübernahmegesuch zu stellen.
2. Wenn die rückzuübernehmende Person ein gültiges Reisedokument und, im Fall von Drittstaatsangehörigen oder Staatenlosen, ein gültiges Visum oder eine gültige Aufenthaltsbewilligung des ersuchten Staates besitzt, kann die Rückführung der betreffenden Person erfolgen, ohne dass der ersuchende Staat der zuständigen Behörde des ersuchten Staates ein Rückübernahmegesuch und, sofern es sich bei ihr um einen Staatsangehörigen des ersuchten Staates handelt, eine schriftliche Mitteilung gemäss Artikel 9 Absatz 1 übermitteln muss.
3. Unbeschadet des Absatzes 2 gilt, dass wenn eine Person an der Grenze oder in Grenznähe, einschliesslich an Grenzübergangsstellen des ersuchenden Staates, aufgegriffen wurde, nachdem sie auf direktem Wege aus dem Hoheitsgebiet des ersuchten Staates kommend illegal die Grenze überschritten hat, der ersuchende Staat innerhalb von zwei Arbeitstagen nach Aufgreifen dieser Person ein Rückübernahmegesuch übermitteln kann (beschleunigtes Verfahren).
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