Internationales Recht 0.9 Wirtschaft - Technische Zusammenarbeit 0.97 Entwicklung und Zusammenarbeit
Droit international 0.9 Économie - Coopération technique 0.97 Développement et coopération

0.975.228.5 Abkommen vom 1. August 2000 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Republik Costa Rica über die Förderung und den gegenseitigen Schutz von Investitionen

0.975.228.5 Accord du 1er août 2000 entre la Confédération suisse et la République du Costa Rica concernant la promotion et la protection réciproque des investissements

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Art. 9 Streitigkeiten zwischen einer Vertragspartei und einem Investor der anderen Vertragspartei

(1)  Im Hinblick auf eine einvernehmliche Beilegung von Streitigkeiten zwischen einer Vertragspartei und einem Investor der anderen Vertragspartei über Investitionen finden Beratungen zwischen den betroffenen Parteien statt.

(2)  Führen diese Beratungen innerhalb von sechs Monaten seit dem schriftlichen Begehren, solche aufzunehmen, nicht zu einer Lösung, so kann der Investor die Streitigkeit entweder der nationalen Gerichtsbarkeit derjenigen Vertragspartei, auf deren Hoheitsgebiet die Investition getätigt wurde, oder internationaler Schiedsgerichtsbarkeit unterbreiten.

(3)  Unterbreitet der Investor die Streitigkeit der nationalen Gerichtsbarkeit, so ist diese Wahl endgültig. Die Vertragsparteien unterlassen jede Einmischung in die Verfahren vor nationalen Gerichten.

(4)  Entscheidet der Investor, die Streitigkeit internationaler Schiedsgerichtsbarkeit zu unterbreiten, so hat er die Wahl zwischen:

(a)
dem Internationalen Zentrum zur Beilegung von Investitionsstreitigkeiten (ICSID), welches durch das am 18. März 19653 in Washington zur Unterzeichnung aufgelegte Übereinkommen zur Beilegung von Investitionsstreitigkeiten zwischen Staaten und Angehörigen anderer Staaten geschaffen wurde; und
(b)
einem Ad-hoc-Schiedsgericht, welches, sofern von den Streitparteien nicht anders vereinbart, gemäss den Schiedsregeln der UNO-Kommission für internationales Handelsrecht (UNCITRAL) geschaffen wird.

Beide Vertragsparteien erklären ihre Zustimmung, die Streitigkeit der Schiedsgerichtsbarkeit gemäss diesem Absatz zu unterbreiten.

(5)  Die am Streit beteiligte Vertragspartei macht in keiner Phase des Verfahrens als Einwand ihre Immunität geltend […] oder den Umstand, dass der Investor aufgrund eines Versicherungsvertrages eine Entschädigung für einen Teil oder die Gesamtheit des erlittenen Schadens oder Verlustes erhalten hat.

(6)  Keine Vertragspartei wird eine der internationalen Schiedsgerichtsbarkeit unterbreitete Streitigkeit auf diplomatischem Wege weiterverfolgen, es sei denn, die andere Vertragspartei befolge den Schiedsspruch nicht.

(7)  Das Schiedsgericht entscheidet auf der Grundlage dieses Abkommens und anderer relevanter Übereinkommen zwischen den Vertragsparteien, der Bestimmungen einer besonderen Vereinbarung, die in Bezug auf die Investition geschlossen wurde, des Rechts der am Streit beteiligten Vertragspartei, einschliesslich der Regeln des Kollisionsrechts, und von Grundsätzen und Regeln des Völkerrechts, soweit diese Anwendung finden.

(8)  Der Schiedsspruch ist endgültig und für die Streitparteien bindend und wird gemäss nationalem Recht vollzogen.

Art. 9 Différends entre une Partie contractante et un investisseur de l’autre Partie contractante

(1)  Afin de trouver une solution amiable aux différends relatifs à des investissements entre une Partie contractante et un investisseur de l’autre Partie contractante, des consultations auront lieu entre les parties concernées.

(2)  Si ces consultations n’apportent pas de solution dans les six mois à compter de la demande écrite de les engager, l’investisseur pourra soumettre le différend soit aux juridictions compétentes de la Partie contractante sur le territoire de laquelle l’investissement a été effectué, soit à l’arbitrage international.

(3)  Si l’investisseur choisit de soumettre le différend à une juridiction nationale, ce choix sera définitif. Les Parties contractantes s’abstiendront de s’immiscer dans les procédures devant les tribunaux nationaux.

(4)  Si l’investisseur décide de soumettre le différend à l’arbitrage international, il aura le choix entre:

(a)
le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI), institué par la Convention pour le règlement des différends relatifs aux investissements entre Etats et ressortissants d’autres Etats2, ouverte à la signature à Washington le 18 mars 1965; et
(b)
un tribunal arbitral ad hoc qui, à moins que les parties au différend n’en disposent autrement, sera constitué selon le règlement d’arbitrage de la Commission des Nations Unies pour le droit commercial international (CNUDCI).

Les Parties contractantes donnent leur consentement à ce que le différend soit soumis à l’arbitrage conformément au présent alinéa.

(5)  La Partie contractante qui est partie au différend ne pourra, à aucun moment de la procédure, exciper de son immunité ou du fait que l’investisseur a reçu, en vertu d’un contrat d’assurance, une indemnité couvrant tout ou partie du dommage ou de la perte subis.

(6)  Aucune Partie contractante ne poursuivra par la voie diplomatique un différend soumis à l’arbitrage international, à moins que l’autre Partie contractante ne se conforme pas à la sentence arbitrale.

(7)  Le tribunal arbitral statuera sur la base du présent Accord ou de tout autre accord pertinent entre les deux Parties contractantes, des termes de tout accord particulier conclu en relation avec l’investissement, des lois de la Partie contractante partie au différend, y compris les règles sur les conflits de lois, et des principes et règles du droit international dans la mesure où ils sont applicables.

(8)  La sentence arbitrale sera définitive et obligatoire pour les parties au différend; elle sera exécutée conformément à la législation nationale.

 

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