1. Jedes Projekt wird auf der Grundlage dieses Abkommens Gegenstand eines Sonderabkommens zwischen den Projektpartnern, das im Detail die Rechte und Pflichten jedes Projektpartners gemäss den afghanischen Gesetzen und Vorschriften bestimmt und festhält.
2. Zur Vermeidung von Doppelspurigkeiten und Überschneidungen mit Projekten anderer Geber und zur Sicherstellung der grösstmöglichen Wirkung der Projekte stellen sich die Parteien gegenseitig alle Informationen zur Verfügung, die für eine wirksame Zusammenarbeit erforderlich sind.
3. Auf afghanischer Seite wird die Gesamtkoordination für die Anwendung dieses Abkommens durch das Finanzministerium sichergestellt.
4. Auf schweizerischer Seite wird die Gesamtkoordination durch die DEZA sichergestellt. Das DEZA-Büro in Afghanistan fungiert für die afghanischen Behörden als Verbindungsstelle für die Durchführung und das Monitoring der Projekte.
5. Die Parteien halten einander vollumfänglich auf dem Laufenden über die Projekte, die im Rahmen dieses Abkommens durchgeführt werden. Sie orientieren einander während der Umsetzungsphase auf sämtlichen Stufen regelmässig über den Fortschritt der im Rahmen dieses Abkommens finanzierten Projekte.
6. Die Parteien überwachen die Anwendung dieses Abkommens im Rahmen des jährlichen DCD-Prozesses. Der DCD, dem hochrangige Beamte beider Parteien angehören, wird vom afghanischen Finanzministerium geleitet, und in dessen Rahmen werden die gegenseitigen Verpflichtungen und die mit diesem Abkommen erzielten Ergebnisse überprüft und erörtert.
7. Die Parteien ergreifen Massnahmen zur Bereitstellung von Informationen zu technischen, administrativen, buchhalterischen, finanziellen oder anderen für beide Seiten relevanten Fragen. Die Informationen sollen die Festlegung, die Beurteilung, die Planung und die Durchführung der in diesem Abkommen und den Abkommen nach Absatz 1 dieses Artikels dargelegten Zusammenarbeit erleichtern.
8. Die Parteien verwenden die Entwicklungshilfe-Datenbank (Development Aid Database, DAD) für den Austausch von aggregierten Daten und von Projekt-/Programmdaten über Verpflichtungen und Auszahlungen gemäss dem offiziellen Datenzyklus (Data Cycle) und den Leitlinien für die Berichterstattung.
9. Afghanistan stellt sicher, dass über die öffentliche Entwicklungshilfe berichtet wird und entsprechende Informationen öffentlich zugänglich gemacht werden.
1. Tout projet doit faire l’objet, en vertu du présent Accord, d’un accord spécifique entre les partenaires dudit projet, qui énonce et définit en détail les droits et les obligations incombant à chacun, conformément à la législation et à la réglementation afghanes.
2. Afin d’éviter tout doublon ou chevauchement avec des projets mis en œuvre par d’autres donateurs et de garantir que les projets aient le plus grand impact possible, les Parties fournissent et échangent toute information nécessaire à une coordination efficace.
3. Du côté de l’Afghanistan, la coordination générale de la mise en œuvre du présent Accord est assurée par le Ministère des finances.
4. Du côté de la Suisse, la coordination générale est assurée par la DDC. Le bureau de la DDC en Afghanistan assure la liaison avec les autorités afghanes pour la mise en œuvre et le suivi des projets.
5. Les Parties se communiquent mutuellement toutes les informations relatives aux projets entrepris en vertu du présent Accord. Elles échangent, régulièrement et à tous les niveaux, leurs points de vue au sujet de l’avancement des projets en cours de réalisation financés au titre du présent Accord.
6. Les Parties surveillent la mise en œuvre du présent Accord dans le cadre du processus annuel du dialogue sur la coopération au développement (DCD). Le DCD est présidé par le Ministère des finances (MoF) de l’Afghanistan et réunit des hauts responsables des deux Parties; dans ce cadre, les engagements mutuels pris et les résultats obtenus dans le cadre du présent Accord sont passés en revue et discutés.
7. Les Parties prennent des mesures afin de mettre à disposition des informations sur des questions techniques, administratives, comptables, financières ou autres qui sont pertinentes pour les deux Parties. Ces informations doivent faciliter l’identification, l’évaluation, la planification et la mise en œuvre des activités de coopération décrites dans le présent Accord et dans les accords conclus au titre du par. 1 du présent article.
8. Les Parties utilisent la base de données de l’aide au développement (BDAD) pour partager des données agrégées et des données ventilées par projet/programme sur les engagements et les déboursements selon le cycle de données officiel et conformément aux directives relatives aux rapports sur l’aide.
9. L’Afghanistan veille à ce que des informations sur l’aide publique au développement (APD) de la Suisse soient diffusées et rendues publiques.
Dies ist keine amtliche Veröffentlichung. Massgebend ist allein die Veröffentlichung durch die Bundeskanzlei.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.