1. Jedes Mitglied der Internationalen Arbeitsorganisation, das dieses Übereinkommen ratifiziert, verpflichtet sich, Verfahren einzurichten oder beizubehalten, die es gestatten, Mindestlöhne für die Arbeitnehmer in gewissen Gewerben oder Teilen von Gewerben (insbesondere in der Heimarbeit) festzusetzen, in denen keine wirksamen Einrichtungen zur Festsetzung der Löhne, sei es durch Gesamtarbeitsvertrag oder auf anderem Wege, bestehen und in denen die Löhne aussergewöhnlich niedrig sind8.
2. Im Sinne dieses Übereinkommens bedeutet das Wort «Gewerbe» die weiterverarbeitenden Gewerbe und den Handel.
8 Siehe Art. 4 des BG vom 20. März 1981 über die Heimarbeit (SR 822.31) und die Art. 2–10 der Heimarbeitsverordnung vom 20. Dez. 1982 (SR 822.311).
1. Tout membre de l’Organisation internationale du Travail qui ratifie la présente convention s’engage à instituer ou à conserver des méthodes permettant de fixer des taux minima de salaires pour les travailleurs employés dans des industries ou parties d’industries (et en particulier dans les industries à domicile) où il n’existe pas de régime efficace pour la fixation des salaires par voie de contrat collectif ou autrement et où les salaires sont exceptionnellement bas7.
2. Le mot «industries», aux fins de la présente convention, comprend les industries de transformation et le commerce.
7 Voir l’art. 4 de la LF du 20 mars 1981 sur le travail à domicile (RS 822.31) et les art. 2 à 10 de l’O du 20 déc. 1982 concernant le travail à domicile (RS 822.311).
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