Internationales Recht 0.7 Öffentliche Werke - Energie - Verkehr 0.74 Verkehr
Droit international 0.7 Travaux publics - Énergie - Transports et communications 0.74 Transports et communications

0.748.127.195.72 Abkommen vom 3. März 2000 zwischen dem Schweizerischen Bundesrat und der Regierung der Mongolei über den Luftverkehr (mit Anhang)

0.748.127.195.72 Accord du 3 mars 2000 entre le Conseil fédéral et le Gouvernement de la Mongolie relatif au trafic aérien de lignes (avec annexe)

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Art. 9 Flugsicherheit

1.  Jede Vertragspartei kann jederzeit Beratungen über die von der anderen Vertragspartei angenommenen Sicherheitsnormen betreffend allen Bereichen der Besatzungsmitglieder, Luftfahrzeugen oder deren Operation verlangen. Diese Konsultationen finden innerhalb von 30 Tagen dieser Anfrage statt.

2.  Stellt eine Vertragspartei nach solchen Beratungen fest, dass die andere Vertragspartei in irgendeinem dieser Bereiche Sicherheitsnormen, die zumindest den zu dieser Zeit aufgrund des Übereinkommens von Chikago festgelegten Mindestnormen entsprechen, nicht wirksam aufrechterhält und vollzieht, muss die erste Vertragspartei die andere Vertragspartei über diese Feststellungen benachrichtigen und die zur Erfüllung dieser Mindestnormen als notwendig erachteten Schritte bekannt geben und die andere Vertragspartei hat geeignete Abhilfemassnahmen zu ergreifen. Für den Fall, dass die andere Vertragspartei nicht innerhalb von 15 Tagen oder einer vereinbarten längeren Frist geeignete Massnahmen ergreift, ist Artikel 7 dieses Abkommens anwendbar.

3.  Ungeachtet den in Artikel 33 des Übereinkommens von Chikago erwähnten Verpflichtungen wird vereinbart, dass jedes durch ein Unternehmen einer der Vertragsparteien auf Strecken von oder nach dem Gebiet der anderen Vertragspartei betriebenes Luftfahrzeug während des Aufenthaltes im Gebiet der anderen Vertragspartei Gegenstand einer Untersuchung durch berechtigte Vertreter der anderen Vertragspartei sein kann. Die Überprüfung an Bord und im Bereich des Luftfahrzeuges bezieht sich auf die Gültigkeit der Lufttüchtigkeitszeugnisse und der Ausweise der Besatzungen sowie den gegenwärtigen Zustand des Luftfahrzeuges und dessen Ausrüstung (in diesem Artikel «Rampinspection» genannt) und sie darf nicht zu unverhältnismässigen Verspätungen führen.

4.  Gibt eine solche Rampinspection oder eine Serie solcher Inspektionen Anlass zu:

a)
ernsthaften Befürchtungen, dass ein Luftfahrzeug oder der Betrieb eines Luftfahrzeuges nicht den zu dieser Zeit auf Grund des Übereinkommens von Chikago festgelegten Mindestnormen entspricht; oder
b)
ernsthaften Befürchtungen, dass ein Mangel an wirksamem Unterhalt und Vollzug von zu dieser Zeit auf Grund des Übereinkommens von Chikago festgelegten Sicherheitsnormen besteht,

ist die Vertragspartei, welche die Rampinspection durchführt, nach Artikel 33 des Übereinkommens von Chikago frei daraus zu schliessen, dass die Erfordernisse, unter welchen das Lufttüchtigkeitszeugnis oder die Fähigkeitsausweise mit Bezug auf dieses Luftfahrzeug oder die Besatzung dieses Luftfahrzeuges ausgestellt oder anerkannt wurden, oder die Erfordernisse, unter welchen dieses Luftfahrzeug betrieben werden, nicht den auf Grund des Übereinkommens von Chikago festgelegten Mindestnormen entsprechen oder diese übertreffen.

5.  Für den Fall, dass der Zugang zur Vornahme einer Rampinspection eines von einem Unternehmen einer Vertragspartei in Übereinstimmung mit vorerwähntem Absatz 3 betriebenen Luftfahrzeuges durch einen Vertreter dieses Unternehmens verweigert wird, ist die andere Vertragspartei frei anzunehmen, dass ernsthafte Befürchtungen im Sinne des vorerwähnten Absatzes 4 bestehen und sie kann daraus die in diesem Absatz erwähnten Schlussfolgerungen ziehen.

6.  Jede Vertragspartei behält sich das Recht vor, die Betriebsbewilligung eines Unternehmens der anderen Vertragspartei vorübergehend aufzuheben oder abzuändern unmittelbar für den Fall, dass die erste Vertragspartei aufgrund einer Rampinspection, einer Serie von Rampinspections oder eines verweigerten Zuganges für Rampeninspections oder aufgrund von Beratungen oder anderweitig zum Schluss kommt, dass unmittelbarer Handlungsbedarf entscheidend für die Sicherheit der Durchführung von Flügen eines Unternehmens ist.

7.  Jede Massnahme einer Vertragspartei in Übereinstimmung mit den vorerwähnten Absätzen 2 und 6 muss aufgehoben werden, sobald die Gründe für diese Massnahmen nicht mehr bestehen.

Art. 9 Sécurité

1.  Chaque Partie contractante peut demander en tout temps des consultations sur les normes de sécurité adoptées par l’autre Partie contractante dans tout domaine qui a trait aux équipages, aux aéronefs ou à leur exploitation. De telles consultations auront lieu dans les 30 jours suivant la demande.

2.  Si, à la suite de telles consultations, l’une des Parties contractantes constate que l’autre Partie contractante n’applique ni ne gère de manière effective, dans l’un de ces domaines, des normes de sécurité correspondant au moins aux normes minimales en vigueur établies en vertu de la Convention, elle notifiera à l’autre Partie contractante ses conclusions et les démarches qu’elle estime nécessaires en vue de satisfaire à ces normes minimales, et cette autre Partie contractante prendra les mesures appropriées pour y remédier. Si cette autre Partie contractante ne prend pas les mesures appropriées dans un délai de 15 jours, ou un délai plus long s’il a été convenu, l’art. 7 du présent Accord sera applicable.

3.  Nonobstant les obligations mentionnées à l’art. 33 de la Convention, il est convenu que tout aéronef d’une entreprise de l’une des Parties contractantes exploité en propre ou en vertu d’un contrat de location sur les services en provenance ou à destination du territoire d’une autre Partie contractante peut faire l’objet, lorsqu’il se trouve sur le territoire de l’autre Partie contractante, d’une inspection à bord ou à l’extérieur par les représentants dûment habilités de cette autre Partie contractante, afin de vérifier la validité des documents de bord et de ceux de son équipage ainsi que l’état apparent de l’aéronef et de son équipement (ci-après «inspection sur l’aire de trafic»), à condition que cette inspection n’entraîne pas des retards excessifs.

4.  Si une inspection ou une série d’inspections sur l’aire de trafic donne lieu à:

a)
des motifs sérieux de penser qu’un aéronef ou l’exploitation d’un aéronef n’est pas conforme aux normes minimales en vigueur établies en vertu de la Convention, ou
b)
des motifs sérieux de craindre des déficiences dans l’application et la gestion effectives des normes de sécurité en vigueur établies en vertu de la Convention,

la Partie contractante effectuant l’inspection sera libre de conclure, pour l’application de l’art. 33 de la Convention, que les exigences selon lesquelles le certificat ou les licences relatifs à cet aéronef ou à son équipage ont été délivrés ou validés, ou selon lesquelles l’aéronef est utilisé, ne sont pas égales ou supérieures aux normes minimales en vigueur établies en vertu de la Convention.

5.  Dans le cas où un représentant de l’entreprise de l’une des Parties contractes refuse, lorsqu’il s’agit d’effectuer une inspection sur l’aire de trafic en vertu du ch. 3 ci-dessus, l’accès à un aéronef exploité en propre ou sur la base d’un contrat de location par cette entreprise, l’autre Partie contractante est libre d’en déduire que des motifs sérieux de préoccupation du type de ceux auxquels il est fait référence au ch. 4 ci-dessus existent et d’en tirer les conclusions mentionnées à ce dernier chiffre.

6.  Chaque Partie contractante se réserve le droit de suspendre ou de modifier immédiatement l’autorisation d’exploitation d’une entreprise de l’autre Partie contractante dans le cas où, vu les résultats d’une inspection ou d’une série d’inspections sur l’aire de trafic ou suite au refus de l’accès à un aéronef pour une inspection sur l’aire de trafic, à une consultation ou autrement, elle parvient à la conclusion qu’une action immédiate est indispensable pour la sécurité des opérations de l’entreprise.

7.  Toute action mise en oeuvre par l’une des Partie contractante conformément aux ch. 2 et 6 ci-dessus sera rapportée dès que les faits motivant cette action auront cessé d’exister.

 

Dies ist keine amtliche Veröffentlichung. Massgebend ist allein die Veröffentlichung durch die Bundeskanzlei.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.