Wenn sich die Regierungen über die Auslegung oder Anwendung einzelner Vertragsbestimmungen nicht einigen sollten, werden solche Anstände durch ein Schiedsgericht ausgetragen.
In dieses Schiedsgericht wählt jede der beiden Regierungen ein Mitglied und diese beiden Schiedsrichter den Obmann.5
Der letztere darf keinem der beiden vertragschliessenden Staaten angehören.
Wenn sich die Schiedsrichter über die Wahl des Obmannes nicht verständigen können, so entscheidet das Los zwischen den Vorschlägen der beiden Schiedsrichter.
5 Heute wird der Obmann von beiden Regierungen im gemeinsamen Einverständnis bezeichnet (Art. 16 Abs. 2 des Staatsvertrages vom 19. Nov. 1924 über die Regulierung des Rheines von der Illmündung bis zum Bodensee – SR 0.721.191.632).
Dans le cas où les deux gouvernements n’arriveraient pas à s’entendre sur l’interprétation ou l’application de certaines dispositions du présent traité, l’objet de la contestation sera soumis au jugement d’un tribunal arbitral.
Chacun des deux gouvernements nommera un membre de ce tribunal, et ces deux membres choisiront le sur‑arbitre7.
Ce dernier ne doit pas appartenir à l’un des deux Etats contractants.
Si les arbitres ne peuvent pas s’entendre sur le choix du sur‑arbitre, le sort décidera entre les propositions des deux arbitres.
7 Actuellement le sur‑arbitre est désigné d’un commun accord par les deux gouvernements selon l’art. 16 al. 2 du traité du 19 nov. 1924 (RS 0.721.191.632).
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