Übersetzung1
Jean-François Paroz | Budapest, 12. September 2013 |
Seiner Exzellenz | |
Ungarn |
Exzellenz,
Ich habe die Ehre, den Empfang Ihres heutigen Briefs betreffend das heute unterzeichnete Doppelbesteuerungsabkommen mit folgendem Inhalt zu bestätigen:
«Ich habe die Ehre, mich auf das heute vom Schweizerischen Bundesrat und der Regierung von Ungarn unterzeichnete Abkommen zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und Ungarn zur Vermeidung der Doppelbesteuerung auf dem Gebiet der Steuern vom Einkommen und vom Vermögen2 (im Folgenden als «Abkommen» bezeichnet) zu beziehen und im Namen der Regierung von Ungarn das folgende Verständnis zu bestätigen.
Die Regierung von Ungarn hat den Schweizerischen Bundesrat darüber informiert, dass sie der Meinung ist, dass die Verpflichtungen unter dem Abkommen mit ihren Verpflichtungen als Mitglied der Europäischen Union vereinbar sind. Sollte Ungarn zu einem späteren Zeitpunkt feststellen, dass Verpflichtungen nach dem Abkommen sich nicht mit den Anforderungen vereinbaren lassen, die Ungarn als Mitglied der Europäischen Union hat, so kann jeder Vertragsstaat die Aufnahme von Konsultationen über die mögliche Verhandlung von Änderungen des Abkommens anstreben.
Ich habe ferner die Ehre, im Namen der Regierung von Ungarn die Anregung zu machen, dass dieses Schreiben und die darauf Bezug nehmende Antwort Ihrer Exzellenz, die die Zustimmung Ihrer Regierung zu diesem Verständnis bestätigt, eine Vereinbarung zwischen den beiden Regierungen bildet, die gleichzeitig mit dem Abkommen in Kraft tritt.»
Ich habe die Ehre, Ihnen zu bestätigen, dass der Schweizerische Bundesrat das im Brief Ihrer Exzellenz dargelegte Verständnis teilt. Der Brief Ihrer Exzellenz und diese Antwort bilden daher eine Vereinbarung zwischen den beiden Regierungen, die gleichzeitig mit dem Abkommen in Kraft tritt.
Genehmigen Sie die Versicherung meiner ausgezeichneten Hochachtung.
Jean-François Paroz |
1 Übersetzung des englischen Originaltextes.
Traduction1
Jean-François Paroz en Hongrie | Budapest, le 12 septembre 2013 |
Son Excellence Monsieur Gábor Orbán | |
Hongrie |
Excellence,
J’ai l’honneur d’accuser réception de votre lettre de ce jour concernant la convention contre les doubles impositions signée aujourd’hui, dont le contenu est le suivant:
«Me référant à la Convention entre la Confédération suisse et la Hongrie en vue d’éviter les doubles impositions en matière d’impôts sur le revenu et sur la fortune2 (ci-après désignée «la Convention») signée aujourd’hui par le Conseil fédéral et le gouvernement de Hongrie, j’ai l’honneur de confirmer l’entente suivante au nom du gouvernement de Hongrie.
Le gouvernement de Hongrie a informé le Conseil fédéral suisse qu’il estimait que les obligations prévues par la Convention étaient compatibles avec ses obligations en tant que membre de l’Union européenne. Si la Hongrie devait s’apercevoir ultérieurement que les obligations prévues par la Convention ne sont pas compatibles avec les exigences qu’elle doit respecter en tant que membre de l’Union européenne, chacun des deux Etats contractants peut demander la reprise de consultations sur une possible négociation en vue de modifier la Convention.
J’ai l’honneur de proposer, au nom du gouvernement de Hongrie, que la présente lettre et la réponse de Votre Excellence à cette lettre, confirmant que votre gouvernement approuve cette entente, constituent un accord entre les deux gouvernements qui entre en vigueur en même temps que la Convention.»
J’ai l’honneur de vous confirmer que le Conseil fédéral suisse approuve l’entente proposée dans votre lettre. C’est pourquoi la lettre de Votre Excellence et la présente réponse sont considérées comme un accord entre les deux gouvernements qui entre en vigueur en même temps que la Convention.
Je saisis cette occasion pour vous renouveler, Excellence, l’expression de ma très haute considération.
Jean-François Paroz |
Dies ist keine amtliche Veröffentlichung. Massgebend ist allein die Veröffentlichung durch die Bundeskanzlei.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.