Die vertragschliessenden Teile verpflichten sich, alle zwischen ihnen entstehenden Streitigkeiten, die nicht auf diplomatischem Wege geschlichtet werden können und die nach Massgabe des Artikels 36 Absatz 2 des Statuts des Ständigen Internationalen Gerichtshofes3 oder jedes andern zwischen den vertragschliessenden Teilen bestehenden internationalen Abkommens einer gerichtlichen oder schiedsgerichtlichen Erledigung nicht fähig sind, einer ständigen Vergleichskommission zu unterbreiten.
Es steht jeder Partei zu, darüber zu befinden, von welchem Zeitpunkt an das Vergleichsverfahren an die Stelle der diplomatischen Verhandlungen zu treten hat.
Die vertragschliessenden Teile können vereinbaren, einen Streitfall, der gerichtlicher oder schiedsgerichtlicher Erledigung fähig wäre, zuvor einem Vergleichsverfahren zu unterwerfen.
3 [AS 37 7681. Diesem Artikel entspricht heute Art. 36 Ziff. 2 des Statuts des Internationalen Gerichtshofes vom 26. Juni 1945 (SR 0.193.501).
Les Parties contractantes s’engagent à soumettre à une Commission permanente de conciliation tous les différends s’élevant entre elles qui n’auraient pu être résolus par la voie diplomatique et ne seraient pas susceptibles d’un règlement judiciaire ou arbitral conformément à l’art. 36, al. 2, du Statut de la Cour permanente de Justice internationale2 OU conformément à toute autre Convention internationale en vigueur entre les Parties contractantes.
Il appartiendra à chacune des Parties de décider du moment à partir duquel la procédure de conciliation pourra être substituée aux négociations diplomatiques.
Les Parties contractantes peuvent convenir qu’un différend qui serait susceptible d’un règlement judiciaire ou arbitral soit préalablement déféré à la procédure de conciliation.
2 [RO 37 770]. A cet art. correspond actuellement l’art. 36 ch. 2 du statut de la Cour internationale de justice du 26 juin 1945 (RS 0.193.501).
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