Stirbt ein Staatsangehöriger des einen der vertragschliessenden Teile im Gebiete des andern Teils, ohne bekannte Erben oder Testamentsvollstrecker zu hinterlassen, so sollen die Behörden des Sterbeorts davon den diplomatischen oder konsularischen Vertreter des Heimatlandes benachrichtigen, damit er den Beteiligten die nötigen Aufschlüsse zugehen lassen kann.
Die zuständigen Behörden des Sterbeortes oder des Ortes, wo sich Eigentum des Erblassers befindet, sollen in Ansehung dieses Vermögens alle Sicherungsmassregeln treffen, welche die Landesgesetzgebung für die Erbschaften von Inländern vorschreibt. Sie können die Vermittlung der diplomatischen oder konsularischen Vertreter des Heimatstaates des Erblassers in Anspruch nehmen, um die gesetzmässigen Mitteilungen an die Erben an ihre Bestimmung gelangen und den Berechtigten den Erlös aus der Hinterlassenschaft zukommen zu lassen.
Für die Staatsangehörigen eines der vertragschliessenden Teile, die im Gebiete des andern Teils sterben, richtet sich die Erbfolge nach dem im Zeitpunkte des Ablebens geltenden Heimatrechte des Erblassers, soweit es sich darum handelt, festzustellen, welches die gesetzlichen Erben und ihre Anteile sind und in welchem Umfange sie auf einen Pflichtteil Anspruch haben.
Si un ressortissant de l’une des parties contractantes vient à décéder, sur le territoire de l’autre partie, sans laisser d’héritiers connus ni d’exécuteurs testamentaires, les autorités du lieu du décès en aviseront le représentant diplomatique ou consulaire du pays d’origine, afin qu’il transmette aux intéressés les informations nécessaires.
Les autorités qualifiées à cet effet du lieu du décès ou du lieu où se trouvent situés des biens du défunt prendront, à l’égard de ces biens toutes les mesures conservatoires que la législation du pays prescrit pour les successions des nationaux. Elles pourront recourir à l’intermédiaire des agents diplomatiques ou consulaires de l’Etat, auquel appartenait le défunt, pour acheminer à leur destination les communications aux héritiers prescrites par la loi, ainsi que pour remettre aux ayants droit le produit de la succession.
La succession du ressortissant d’une des parties contractantes décédé sur le territoire de l’autre partie sera régie par la loi nationale du défunt en vigueur au moment du décès pour ce qui concerne la question de savoir quels sont les héritiers légaux et leurs quotes-parts et dans quelle mesure ils sont réservataires.
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